Un moment de détente...[ Final / Frederick]

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Fin d'aprés-midi, fatigué par un léger rhume, Frederick a décidé de s'accorder un moment de détente dans son appartement. Dans son atelier, il est devant la toile blanche, entrain de peindre... Quand son ouïe lui joue des tours, lui faisant entendre une sorte de sifflement perçant l'empêchant de se concentrer.

Vous devez faire au moins une ou deux pages avant d'aller vous promenez en ville !

Je posterais un message lorsque le sujet devra se clore !

Le premier message ne devra pas décrire le tableau...

Suite un petit rhume de rien du tout, genre rhume des foins, le proviseur décida de rentrer à son appartement. Son logement était assez coquet, pas très grand et comportait un balcon de la longueur de l'appartement très fleurie. En effet, le directeur adorait la nature. C'est pourquoi, dés qu'il le pouvait, il employait des matériaux recyclés, recyclait ses objets, économisait l'énergie, histoire de préserver la planète. En bref, Frédéric était un vrai écologiste. même pour sa nourriture, il faisait attention à ne pas trop consommer de produits chimiques ou industriels.

Le directeur gara sa voiture dans le parking souterrain de l'immeuble, prit l'ascenseur et entra dans son appartement. Il déposa sa réserve de mouchoir sur la table de la salle à manger et se prépara un grog pour retrouver sa voie. Le seul moyen où il pouvait se détendre est était celui il pouvait dessiner, peindre et contempler sa peinture. Ce moment était magique. En effet, il n'était plus lui-même et avait l'impression de se laisser guider dans sa peinture, comme si une autre personne prenait sa main et l'aidait à dessiner, un peu à la manière d'un pantin ou à la manière d'une institutrice qui apprendrait à dessiner à un enfant.

Il se changea, histoire d'être plus à l'aise pour peindre et de ne pas se salir. Il enfila donc un pantalon noir genre "sportware", avec un vieux tee-shirt gris délavé et se rendit dans sa pièce atelier où un chevalet muni d'une toile vierge attaché à un plateau muni d'une palette, de pinceaux et d'eau. La pièce était digne d'un artiste: plein de tâche de peinture sur les murs comme sur le sol en précisant que la couleur de base de la pièce était blanche mais vu les nombreuses fois où notre artiste a peint dans cette pièce, on avait plutôt l'impression d'avoir un mur façon "patchwork". Frédéric s'installa donc sur son tabouret en face de sa toile et commença à peindre.

Au bout d'une heure, n'ayant pas vu le temps passé tellement, il était prit dans peinture, il fut prit de violentes migraines accompagnées de sifflements provenant apparemment des ses oreilles. Il tenta de continuer comme si rien ne s'était passé mais impossible de continuer dans des conditions pareilles. Il posa donc son pinceau et sa peinture et alla dans la salle de bain. Puis, Frédéric ouvrit la pharmacie à la recherche d'un malheureux petit comprimé d'aspirine qu'il trouvât bien caché au fond. Faut dire que cela faisait un bon moment qu'il n'avait pas trier se médicaments. Il s'installa sur le sofa très confortable (dés qu'on s'y installe, on s'y endorme) de la la salle à manger en attendant que sa migraine et les sifflements incessants cessent enfin.

Joli participation!Ton premier défi est lancé, regarde par ici, pour t'aider à réaliser ton défi, à savoir inclure cette chanson dans ta prochaine réponse :

Les Voisines - Renan Luce

Attention si tu choisis de la faire passer à la radio, tu dois bien veiller à ce qu'elle fasse partit intégrante de ta réponse, tu ne fais pas que l'entendre, elle rythme ta réponse !

Affalé dans son canapé en cuir, très moelleux de couleur blanc crème, notre cher proviseur se trouva détendu par l'aspirine qu'il venait de prendre et se laissa somnoler un peu petit peu. Il regarda en face de lui, par la fenêtre l'immeuble dans face où quelques jeunes femmes se promenaient à moitié dévêtu dans leur appartement. Il prit plaisir à regarder puisqu'il ne savait pas quoi faire en attendant que sa migraine passe. Et puis, pendant qu'il admirait ses jeunes demoiselles, il ne pensait ni à sa migraine ni aux problèmes avec ses enseignants au lycée. Les silhouettes ondulaient devant les fenêtres mais certaines étaient cachées derrière des stores ou des épais rideaux. Ce qui gênait un peu Frédéric. Serait-il un tontinait pervers notre soit disant sage directeur? Pas si sage que ça, à ce qu'on peut voir.

Frédéric commençait un peu à chauffer à force de voir ses femmes en sous-vêtements de sa fenêtre juste au moment où le mari de l'une d'elle ayant aperçu que quelqu'un dévisageait sa femme ferma les volets. Ce qui força notre proviseur à revenir à la dure réalité et à retrouver son mal de tête qui n'en finissait pas de lui tambouriner dans la tête. Impossible dans ces cas là de faire quoi que ce soit, même dormir ne lui était pas envisageable. Maintenant que les volets étaient fermés dans l'immeuble dans face, il ne pouvait même plus en profiter. C'est trop injuste, pour une fois qu'il se passait quelque chose d'intéressant et que cela brisait sa vie monotone. Il resta affalé dans son canapé à chercher le sommeil mais en vain.

hj désolée pour le temps que j'ai mis à répondre mais je n'avais pas d'idées... :D

Bien!Ton second défi est lancé, regarde par ici, pour t'aider à réaliser ton défi, à savoir inclure cette citation :

'La vie d'un peintre, c'est à rebours qu'elle se déroule : le peintre naît vieux.'
[Jean Bazaine] Extrait d' Exercice de la peinture

Attention tu dois bien veiller à ce qu'elle fasse partit intégrante de ta réponse !

Relance du défi, attention, risque de pénalité si il n'y a pas de réponse d'ici la fin de la semaine, c'est à dire dimanche 13 septembre 2009!

Frédérick profita de ce moment de solitude pour un faire un premier bilan de sa vie qui est assez riche à son avi. Tout d'abord, commençons par son enfance: enfant très mature pour son âge, il ne jouait pas avec les enfants de son âge, lisait énormément de livres, s'intéressait beaucoup aux arts et à toutes sciences qui puissent exister. C'est un peu comme s'il n'avait pas eut le temps de grandir. en effet, depuis tout petit, il avait avait l'irrisistible envie d'enseigner ses savoirs faire et c'est tout naturelement qu'il avait décider de devenir enseignant dans un premier temps puis proviseur quand l'opportunité s'est présentée à lui. Mais, en n'y repensant, il avait toujours été attiré par la peinture mais n'avait jamais osé franchir le cap.

Pourquoi? Comment pourrait-il l'expliquer?

L'inconscient est si mystérieux et imprénétrable, qu'il est souvent difficile d'analyser des faits ou situations qui s'offre à nous? Il s'était marrié très jeune, vers 18 ans. Il avait, par ailleurs deux enfants âgés respectivement de 18 et 15 ans. Frédérick n'avait pas prit le temps de vivre sa vie comme elle doit se passer à chacun instant clé notre destinée sur Terre. Il a l'impression d'avoir vécu sa vie à l'envers des autres. C'est maintenant qu'il aimerait chahuter comme ses élèves. Un peu comme cette citation de Jean Bazaine qui disait ceci:

'La vie d'un peintre, c'est à rebours qu'elle se déroule : le peintre naît vieux.'

Et bien, dans son cas, c'est vrai: en effet, Frédérick a d'abord construit son avenir avant de batir des bases solides avec un passé, un vrai.
C'est une sensation étrange pour lui et il ne sait pas comment digérer ce bilan de son existance qu'il vient de faire. L'avenir nous le dira.

ps désolé pour le temps que j'ai mis à répondre... :scratch:

Bien! Regarde par ici, pour t'aider à réaliser ton défi, à savoir inclure ces mots:

homme, terroriste, danger, peinture à l'huile, eau, chevalet, pinceau, immeubles, délice

Relance du défi, attention, risque de pénalité si il n'y a pas de réponse d'ici la fin de la semaine, c'est à dire dimanche 9 novembre 2009!

Frédérick Proust décida de se remettre à peindre pour ne succomber à l'irrésistible envie de prendre sa voiture et de foncer rejoindre sa petite famille qui lui manquait tant. Il sait que sa femme et ses enfants vont bientôt le rejoindre mais l'impatience de les retrouver est plus forte. En se mettant à peindre, il n'y penserait plus pendant quelques heures. Le proviseur prit une toile neuve, toute blanche, et la déposa que son chevalet usé par le temps, recouvert de taches de peintures dont certaines devaient être très ancienne du fait de leur encastrement dans le bois du chevalet. Il positionna son tabouret devant et le régla à bonne hauteur. Puis, déposa sa peinture à l'huile sur sa palette, attrapa un pinceau et commença à peindre.

Au bout, de deux heures de peintures, on pouvait voir un homme se glisser dans la toile. Cet homme paraissait soucieux, stressé et n'inspirait pas confiance. au fur et à mesure de son portrait, ses traits se dessinaient de plus en plus et on pouvoit deviner une expression de colère dans les yeux de ce mystérieux personnages. Qui était-il vraiment? Pourquoi tant de mystère?

Une heure plus tard, le personnage portait une arme dans sa main droite qu'il soutenait avec son autre main. Il s'était mis en position couchée, caché derrière une petite coline et ancré dans une sorte d'antre. Il visait un lieu, non plutôt un batiment, je dirais même des immeubles. Mais, pourquoi?

Le peintre finit par tomber de fatigue et s'endormit la joue collée à sa palette. C'est à ce moment précis que le mystèrieux personnage de la toile prit vie. Celui-ci prit une pomme et un verre d'eau. ce fût un délice. Puis, il s'enfuit en sautant par la fenêtre et alla exécuter sa mission top secrête. il m'a tout l'air d'être un terroriste.

La ville risquait de courrir un grave danger à cause de lui......

Bien!Ton troisième défi est lancé, regarde par ici, pour t'aider à réaliser ton défi, à savoir écrire une réponse d'un minimum de 25 lignes pleines décrivant un rêve que fait Frederick à propos de fraises .....

L'atmosphère était paisible, relaxante sans le moindre bruit d'élèves turbulents, mais pour seule musique, celle du vent, du soleil et des oiseaux qui passait par ici. le ciel paraissait dégagé puisqu'on pouvait cerner l'horizon. Le soleil commençait à prendre un peu plus de chaleur de jour en jour et ainsi réchauffait les corps. Notre peintre se trouvait là, allongé dans la paille juste à coté d'un gigantesque champs biologique où l'on cultivait des fraises. Ces fraise n'avaient rien à voir avec celles vendues sur les marchés ou dans les commerces. Leur odeur était perceptibleà des centaines de kilomètres, une odeur semblable aux fraises des bois, une odeur qui fait rêver, qui donne envie. De plus, ces fraises était d'un rouge, tellement rouge qu'on ne pouvait s'empêcher de les croquer sans jamais saturer. Non loin du champs, se trouvait une petite auberge en bois entourée d'arbres, seule refuge contre la déforestation et la mondialisation qui risque de menacer l'Homme.

Dans cette auberge, une femme excellente patissière avec une imagination débordante, créait de succulents desserts naturels avec ses fraises qu'elle cueillait délicatement et amoureusement. Parmis ces dessert, on pouvait trouver des tartes aux fraises recouvertes d'une fine couche de chantilly avec une pâte lègèrement croustillante et dorée à point. En plus de cela, ses milk-shalkes étaient à tomber par terre tellement ils étaient succulents, onctueux, frais et tout simplement renversants. Frédérick n'avait pas envie de se réveiller, il voulait seulement rester dans ce monde, certe imaginaire, mais tellement exceptionnelle. C'est si rare de trouver de bons produits mûres et naturels mais surtout fait avec amour. Dans notre monde, on a l'impression que tout va trop vite, pas le temps de profiter des bons moments: les rêveurs sont exclus de cette socièté tout comme ceux qui se trouvent être différents de la majorité, qu'il faut rentabiliser tout suite, qu'il faut obtenir tout de suite alors que les choses prennent du temps naturellement et dans le cas des fraises, celles-ci sont bien meilleures quand elles ont muri au soleil sans engrais chimique simplement avec de la patience.

Notre peintre souhaite se déconnecter de la réalité et pour une fois, contrairement à ses habitudes en tant que proviseur du lycée, il voudrait prendre son temps, goûter aux plaisirs de la vie et au bon goût des aliments de saison. Les fraises sont son pêchés mignon et il ne s'en cache pas. Il se leva et alla déguster une part, non négligeable de cette magnifique tarte aux fraises qui l'attire tellement, l'ennivre et le fait craquer. Il la dégusta avec amour suffisement lentement pour que le goût, l'odeur et la texture l'apaise et lui procure ce plaisir tellement recherché. Pour rien au monde, il n'aurait voulu se réveiller, retrouver le chahut régnant constemment au Lycée. Notre proviseur se trouvait bien ici, assis sur l'herbe verte mais d'un vert si naturel et si chaleureux qu'on mangerait par terre. La nature est vraiment une chose merveilleuse.

Attention Frederick, tu n'as que 22 lignes pleines !La Conteuse t'en as demandée un minimum de 25 ! De plus, fais attention aux fautes qui se sont glisser ici et là !

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