We wish you a merry christmas...

La vie est une chose étrange. Elle nous donne du fil à retordre à chaque fois et nous pousse à montrer le meilleur de nous même. Elle nous oblige à subir de terribles épreuves afin de nous rendre plus fort. Pourquoi à chaque fois qu'elle se rendait quelque part, une catastrophe débarquait ? La vie nous réserve bien des surprises. La jeune fille lança un coup d’œil en direction de son père et remarqua qu'il se trouvait en pleine forme. Elle regretta le fait qu'il ne soit pas sur son dos comme d'habitude. Certaines habitudes peuvent manquer.

Gwenny se trouvait là, contemplant le sapin coupé en deux et n'eut pas le temps de voir des petits êtres semer la zizanie dans la pièce. Une arme vola dans la pièce et la déesse eut juste le temps de se baisser avant de la voir finir dans le mur d'en face. L'arme lui laissa une belle entaille sur la joue d'où un mince filet de sang en coulait mais rien de vital. Gwendoline fut étonnée de ne pas voir son papa rappliquer à toute vitesse, lui qui dés qu'elle avait la moindre égratignure s'inquiétait pour sa petite fille chérie.

Les petits « gnomes » attaquaient dans tous les sens et n'épargnèrent personne à première vue. Gwendoline fut victime de ses êtres malicieux. Ils lui tiraient les cheveux, lui tiraient sur le bas de sa robe et finissaient pas lui lacérer les jambes. La jeune fille avait tenté de se débattre mais impossible de résister ou alors la fatigue s'était emparée d'elle. Sa joue saignait toujours autant, de même que ses jambes. Elle se vidait de son sang. Sa tête se mit à tourner. Le décors tourna. Ses yeux se révulsèrent. Elle vacilla jusqu'à s’effondrer sur le sol de la mairie. Inconsciente, dans un coin de la mairie, la jeune fille resta allongée sur le sol avec de belles blessures sur l'ensemble de son corps. Pendant le temps qu'elle resta inconsciente, allongée sur le sol, quelqu'un la fit glisser sur le sol ou alors la porta, elle ne saurait dire ce qu'il s'était passé mais en tout cas, une chose était certaine, son corps avait bougé. Mais qui l'avait transporté ou quoi ? Décidément, elle aurait mieux fait de rester dans son lit avec un bon plateau télé, un bon film et et un bon livre. Elle aurait aussi pu rester avec son nouvel ami : ce beau jeune homme qui venait de débarquer dans la ville et dont elle n'était pas insensible à son charme.

Apollon observait la scène qui venait de se dérouler sous ses yeux. Il était très inquiet pour sa fille. Il la chercha du regard. Il la remarqua en pleine forme et fut profondément soulagé de la voir en vie. Rien au monde n'était plus précieux que son bébé. Enfin, un bébé qui avait décidément bien grandit depuis toutes ces années même s'il ne s'en rendait pas vraiment compte. Il est pas encore né celui qui prendra le cœur de sa fille. Quoique mieux vaut qu'il ne le sache pas tout de suite, Apollon pourrait faire des étincelles. Le Dieu des arts sait, tout au fond de lui mais alors dans un endroit bien profond de son cerveau, qu'il devrait laisser sa fille voler de ses propres ailes, quitte à ce qu'elle se les brise mais son instinct protecteur prend le dessus. Il l'aime trop pour la voir souffrir, pour ce qu'un homme la fasse souffrir. Pourtant, il en a fait souffrir des femmes. Seulement, là c'était différent. C'était la chair de son sang. Son sang. Sa petite puce. Maintenant, il savait ce qu'avait pu ressentir les pères de toutes les femmes qu'il avait bafoué. Il s'en voulait. Il ressentait de la culpabilité et même du remord. On ne pouvait pas rattraper le temps mais on pouvait faire en sorte de ne pas gâcher l'avenir. Il devait avoir une discussion avec sa fille concernant non seulement son comportement trop protecteur envers elle mais aussi au sujet de sa mère. Comment aborder le sujet de sa mère ? Cette femme qu'il a aimé ! Peut-être l'une des seule femme avec qu'il a été le plus honnête !

Il allait falloir qu'il se renseigne auprès d'autres amazones afin de se renseigner ce qu'était devenue la mère de sa fille. Sa fille semblait en sécurité et en pleine forme d'après ce qu'il pouvait voir. Elle n'avait pas besoin de son vieux papa afin de l'aider. Elle savait se débrouiller toute seule et elle le faisait très bien. Il était fier de sa fille chérie. Décidément, les enfants grandissent trop vite. Ce n'est pas tout mais autant profiter de la cohue et du désordre régnant dans la salle pour s’éclipser en douce. Premièrement, trouver un endroit discret pour disparaître. Ou alors, il peut très bien passer par la porte d'entrée mais dans ce cas, tout le monde, ou du moins la plupart, serait qu'il quittait la fête et le Dieu préférait rester discret. Il finit par se rendre dans les toilettes afin passer inaperçu et de s'entretenir avec une amazone et d'en savoir plus sur la mère de sa fille.

C'est ainsi qu'Apollon se rendit invisible grâce à ses pouvoirs et qu'il pu enfin quitter cette petite soirée qui avait décidément bien mal tournée. Pourtant, tout avait si bien commencé et il a fallu que des petits êtres imaginaires viennent tout faire capoter.

HJ: FIN DE SUJET POUR APOLLON (je signale que M. Proust a finit le sujet aussi)

' Moi, j'suis volontaire pour surveiller la marmaille, c'est mon boulot après tout ! '

' Je te préviens, si tu reviens encore à moitié cassé, je t'achève, alors essaye de pas faire de conneries quand tu seras avec le môme et l'Amazone, je ramasserais pas les morceaux ! '

' Si tu es bien sage, je te promet que le Père Noël sera très gentil avec toi et que tu auras un beau cadeau ce soir... Sans pantalon... '

' Bon, je propose que ceux qui ne vont pas à la chasse à la connerie essayent d'attraper ses bestioles ! Quelqu'un à un filet dans son sac ? Un lasso peut-être ? '

' Mais quel succès ! Tu te les partages toute pendant la semaine, chacune son soir ? '

' Dois-je vous rappelez que ce n'est pas moi qui est voulu la tuer ? Moi, je voulais m'en débarrasser, ce n'est pas pareil. '

' Tes créés sont liés à toi, comme une mère à son petit. Tu dois apprendre à écouter tes dons, ils te diront où sont tes créatures. C'est une des premières choses qui se manifestent, généralement. '

' Oui, car au bout d'un certain temps, un créé devient indépendant. Moins son Créateur s'est impliqué dans sa création, plus il pourra penser facilement par lui-même. '

' Bien, un dessin donc. Il nous reste plus qu'à aller chercher ton chef-d'oeuvre et à le détruire, avec un peu de chance, ils disparaîtront. '

' Je serais ravi de vous accueillir dans notre périple, mademoiselle. Plus on est de fous, plus on rit, n'est-ce pas ? '

' Effectivement, tu ne le sais pas mais tu n'as pas vraiment le choix. '

' Je me ferais taper sur les doigts si je suis vilain ? '

' Mesdames, monsieur, allons-y ! J'espère que l'un d'entre vous sait conduire ! '

FIN DU SUJET POUR RAVEN

We wish you a merry christmas... - Page 3 101231054447260267396415

Le désastre est présent, la fête est ruinée, les pompiers présents ce soir pour recevoir les honneurs suite à leurs actes de bravoure durant l'incident du lycée se voit obliger de reprendre du service. Ils évacuent la plupart des personnes mais dans la panique général, évacuer une ville entière n'est pas chose simple en quelques minutes, ils n’aperçoivent pas un certain petit groupe qui parlementent presque tranquillement. Des flammes s'élèvent de partout, créant un rideau de feu, au milieu des décorations de Noël brisé.

Bientôt, Raven T. Thurner franchit le seuil de la salle des fêtes pour se diriger vers sa voiture, tirant sans ménagement un Ian Gregory éberlué derrière lui. Ils sont tout deux talonnés par une Shane Williams qui leur hurle de les attendre et une Tiffa qui les rejoint en quelques foulées souples. Les voilà partit en direction de l'appartement du jeune homme .....

Reste dans la salle :

Liste des
invités

Kalia Bennett
Trent Mathers
Scilion ' McFallen'
Tisiphone'

A eux de voir s'ils poursuivent le sujet pour rattraper les petits monstres, l'intrigue du bal est close.

Sujet verrouillé.

Sujet: Re: We wish you a merry christmas...